Dictature sanitaire, « quoi qu’il en coûte » (la fin justifie les moyens), attestations de déplacement, fermetures de frontière, délations, intrusions pour nous dire comment nous devions manger, parler ou nous déplacer dans notre propre maison, «pass sanitaire», pouvoir de l’oligarchie politique, économique et pharmaceutique, mise de côté du parlement et du débat public, médias assurant le service après vente des décisions gouvernementales et alimentant la peur, mépris de la culture. Tous ces termes qui renvoient à la guerre, à la domination ou la propagande se sont imposés sans que nous y prenions garde, justifiés par la peur bien naturelle de mourir. Avec un peu de recul, nous prenons conscience, une fois encore, que toute liberté est fragile.